Comment vive les agents pathogène à travers le climat ?

Comment les agents pathogènes survivent et se développent dans un climat en évolution

Selon un article d’Ashley Mayrianne publié dans le magazine Microcosm de l’American Society for Microbiology, de nombreuses études ont conclu que le changement climatique aura un impact sur la santé et le bien-être humains, ainsi que sur l’environnement. Les variations de température, de précipitations, d’humidité, de concentrations de CO2 et de disponibilité des nutriments peuvent accroître le risque de maladies transmises par des vecteurs et des zoonoses, à la fois dans de nouvelles zones géographiques et dans les régions où ces maladies sont déjà endémiques ou éradiquées.

Une revue systématique de la littérature publiée en août 2022 a prédit que 58% des maladies infectieuses humaines pourraient s’aggraver en raison du changement climatique. L’Organisation mondiale de la santé considère l’impact du changement climatique sur la santé mondiale comme « la plus grande menace pour la santé de l’humanité » et estime que les coûts directs pour la santé atteindront entre 2 et 4 milliards de dollars d’ici 2030, en raison de l’augmentation des décès liés à la malnutrition, au paludisme, à la diarrhée, au stress thermique, et d’autres facteurs. Les pays et les communautés à faibles ressources devraient être les plus touchés par les maladies liées au climat. Les personnes immunodéprimées ou ayant des allergies respiratoires, nutritionnelles et saisonnières préexistantes seront également plus exposées.

Pourquoi le changement climatique accroît-il le risque de maladies ?

En général, les conditions météorologiques plus douces favorisent la survie et la reproduction des micro-organismes. Cependant, selon le Dr Arturo Casadevall, directeur du département de microbiologie moléculaire et d’immunologie W. Harry Feinstone et professeur à l’école de santé publique Bloomberg de l’université Johns Hopkins, le problème ne réside pas seulement dans le réchauffement climatique moyen. « Les gens disent que ‘le monde ne se réchauffe que d’un degré’, mais ce n’est pas la bonne façon de penser », explique-t-il. « Chaque jour très chaud est un événement de sélection ».

À mesure que le climat change, les microbes doivent s’adapter à cette « nouvelle normalité », ce qui offre aux agents pathogènes des opportunités de se déplacer et d’évoluer de manière inconnue, augmentant ainsi leur virulence et leur capacité à infecter différents hôtes. Lorsque les humains se déplacent vers de nouveaux environnements pour échapper aux conséquences du changement climatique, ils peuvent également rencontrer de nouveaux agents pathogènes contre lesquels ils n’ont pas d’immunité naturelle. L’évolution humaine ne peut tout simplement pas suivre le rythme de ces changements.

 

 

Le seuil de rentabilité : calcule et définition

Comment calculer le seuil de rentabilité de votre restaurant ?

Qu’est-ce que le seuil de rentabilité ?

Le seuil de rentabilité d’un restaurant est atteint lorsque les recettes de l’entreprise couvrent les dépenses liées à son fonctionnement. C’est le moment où l’entreprise atteint le « point mort ».

Une fois le point mort dépassé, cela signifie que le restaurant génère des bénéfices.

Comment exprimer le seuil de rentabilité ?

Le seuil de rentabilité d’un restaurant peut être exprimé de différentes manières :

  • En euros (montant du chiffre d’affaires hors taxes)
  • En nombre de repas servis
  • En nombre de jours de chiffre d’affaires réalisés

Calcul du seuil de rentabilité de votre restaurant Il est possible de suivre régulièrement la rentabilité à l’aide d’un tableau de bord pour votre restaurant, en enregistrant les recettes et le nombre de repas servis chaque mois. Le seuil de rentabilité peut être calculé à l’aide de la formule suivante :

Seuil de rentabilité = Charges fixes / Taux de marge sur coûts variables

Les charges fixes comprennent les frais de fonctionnement du restaurant qui restent constants tout au long de l’année, indépendamment de l’activité. Les charges variables sont les dépenses variables liées à l’activité du restaurant.

Déterminer le chiffre d’affaires prévisionnel Le chiffre d’affaires prévisionnel correspond aux recettes prévues sur une période d’un an. Il est calculé en multipliant le prix unitaire des repas et boissons vendus par les quantités prévues.

Pourquoi calculer le seuil de rentabilité ?

Le calcul du seuil de rentabilité est essentiel pour évaluer la santé financière de votre restaurant. Il permet de suivre de près les finances et la trésorerie de l’établissement. Cela peut être réalisé en collaboration avec un expert-comptable et en utilisant un logiciel de gestion adapté.

Calcul du point mort Le calcul du point mort représente la date à laquelle le restaurant atteint un chiffre d’affaires minimum pour couvrir ses frais et éviter les pertes. Le point mort peut être exprimé en nombre de jours à l’aide de la formule suivante :

Calcul du point mort = (seuil de rentabilité / chiffre d’affaires) x 365 jours

Ce calcul permet de déterminer le nombre de jours nécessaires pour que le restaurant devienne rentable.

Comment gérer les plaintes des clients ?

 Comment gérer les plaintes des clients

Les clients sont au cœur du service client, et il existe une règle non écrite : le client a toujours raison, même s’il a tort. Malgré tous vos efforts, il est probable que vous rencontriez une ou deux plaintes de clients au cours de votre carrière. Il faut beaucoup de patience et de compréhension pour traiter efficacement une plainte de client, qui découle généralement d’un sentiment d’inconfort ou d’injustice ressenti par le client.

Dans cet article, nous allons présenter quelques plaintes courantes que vous pourriez rencontrer et expliquer pourquoi ces plaintes peuvent en réalité être bénéfiques. Nous vous donnerons également des conseils sur la meilleure façon de gérer les plaintes lorsqu’elles se produisent.

Qu’est-ce qu’une plainte de client ?

Une plainte de client est un retour négatif sur un produit ou un service que le client a acheté ou expérimenté.

Bien que chaque plainte soit différente, elle découle généralement d’un sentiment de mécontentement du client par rapport à ses attentes, et cela peut se manifester de différentes façons. Souvent, lorsque quelqu’un se plaint, il souhaite simplement que ses sentiments soient entendus et reconnus.

Par exemple, certaines des plaintes les plus courantes des clients incluent :

  • L’attitude des employés qu’ils rencontrent.
  • Le fait d’avoir dû attendre plus longtemps que prévu.
  • Les erreurs commises par les employés.
  • La qualité du produit ou du service pour lequel ils ont payé.

La gestion des plaintes des clients dépend du secteur d’activité. Par exemple, si vous travaillez dans le commerce de détail, un centre d’appels ou une entreprise de l’hôtellerie, il existe des causes communes de plaintes de clients qui se produisent dans la plupart des rôles de service client, et nous en avons énuméré certaines ci-dessous.

  • Attente trop longue : cela peut concerner la longueur des files d’attente en magasin, le temps que met la caissière pour scanner les produits ou un temps de traitement en ligne prolongé. Il y a également une tendance récente à la commande en ligne et au retrait en magasin, où un client passe une commande en ligne et s’attend à ce que ses articles soient prêts et attendent à son arrivée.
  • Personnel peu accessible : dans les commerces de détail, il est courant que le personnel ait des tâches qui les amènent sur le terrain. Pendant cette période, les clients peuvent les solliciter pour obtenir des informations ou des conseils. Si les clients ont l’impression d’être un fardeau pour les membres du personnel, cela peut conduire à une plainte. Les rôles de service client peuvent être rapides, où le personnel a tendance à effectuer plusieurs tâches à la fois, par exemple dans un restaurant. Cela peut parfois donner l’impression que le personnel est distrait, impatient, frustré ou peu accessible, ce qui laisse le client insatisfait du service reçu. De même, les clients peuvent être mécontents de l’attitude ou de la manière d’un membre du personnel au téléphone.
  • Qualité du produit ou du service : cela peut se produire dans n’importe quelle entreprise de service client et se manifester de différentes manières. Par exemple, dans un restaurant, un problème courant est qu’un chef cuisine un steak différemment de ce que le client souhaite. Cela peut également inclure des produits en rupture de stock, endommagés à l’arrivée ou dont la qualité ne correspond pas aux attentes du client.
  • Erreurs : elles peuvent arriver à n’importe quel membre du personnel à n’importe quel moment, quelle que soit son expérience ou son engagement dans son rôle. Les oublis sont fréquents lorsque l’on jongle avec de nombreuses tâches à la fois, et souvent, les erreurs sont involontaires.
  • Retours et remboursements : cela peut être un point de friction, que ce soit lorsque le client tente de retourner un produit sans preuve d’achat, que l’article ne peut pas être retourné ou qu’il souhaite un remboursement en argent plutôt qu’un avoir en magasin.
  • Erreurs de facturation : cela peut inclure des coupons invalides, des points de récompense ou un prix incorrect d’un article. Cela peut également impliquer l’expiration d’offres promotionnelles ou même un problème technologique en magasin ou avec les paiements en ligne. Ces situations causent de la frustration et inconvénient le client.

Pourquoi les plaintes des clients sont-elles importantes ?

Bien qu’il soit impossible d’éviter complètement les plaintes – après tout, chaque client est différent et réagira donc de différentes manières – cela ne signifie pas pour autant que l’entreprise perdra des ventes et des clients. L’astuce consiste à comprendre ce qui cause les plaintes et comment les gérer de manière efficace.

En fait, les plaintes des clients peuvent même être bénéfiques. Les retours d’information sont un outil important et ne doivent pas être perçus comme une critique personnelle. Tout le monde a des domaines dans lesquels il peut s’améliorer, et il en va de même pour la gestion d’une entreprise.

Si un client vous donne son avis sur votre performance ou sur l’entreprise elle-même, la meilleure chose à faire est de l’accepter. Après tout, ce sont eux qui vivent ce que vous vendez et ils peuvent avoir des perspectives précieuses. De plus, tout le monde insatisfait ne se plaint pas. Un client peut soulever un problème que beaucoup d’autres ont également rencontré, et il est important de le garder à l’esprit. En rectifiant une erreur ou un problème pour un client, vous évitez à d’autres de ressentir la même chose. Les plaintes peuvent être des occasions d’apprentissage pour vous améliorer à l’avenir et vous assurer de ne pas commettre la même erreur deux fois.

La chose la plus importante est de savoir comment gérer la plainte d’un client. Cela peut déterminer l’efficacité avec laquelle le conflit est résolu et si le client est satisfait ou non. Les clients impressionnés par la gestion rapide de leur problème seront plus susceptibles de redevenir des clients satisfaits et de revenir dans votre établissement.

Comment répondre à une plainte de client Comme nous l’avons mentionné, il est presque impossible d’éviter de faire face à une plainte de client à un moment donné de votre carrière. Cependant, la façon dont vous gérez la plainte est la chose la plus importante. Voici quelques conseils et conseils pour vous aider à faire face à ces situations.

Rester calme :

Si vous vous retrouvez confronté à une plainte, il est important de rester calme, même si le client n’est pas calme. Il peut être instinctif d’élever la voix si quelqu’un vous crie dessus, mais cela ne fera qu’alimenter le conflit et prolonger la confrontation.

Certains clients peuvent se montrer agacés et animés lorsqu’ils se plaignent. Quelle que soit leur approche, vous devez rester professionnel, calme et maître de la situation. Si vous sentez que vous vous frustrer et que vous êtes tenté d’élever la voix, prenez une profonde respiration. Le client est plus susceptible de réagir positivement à quelqu’un qui semble maîtriser ses émotions et la situation.

Faire attention à votre langage corporel :

Le langage corporel et les autres formes de communication non verbale peuvent en dire long sur votre attitude à l’égard d’une situation. Par exemple, les bras croisés ou une main sur la hanche suggèrent la frustration ou l’impatience et peuvent être perçus comme une attitude de confrontation.

Vous devez adopter une attitude corporelle accueillante et calme. Avoir une posture ouverte montre que vous êtes engagé avec le client. Le contact visuel est un excellent moyen de montrer que vous écoutez quelqu’un, par exemple.

Écouter activement :

Écoutez ce que le client dit et ne vous contentez pas d’attendre qu’il ait fini de parler pour exprimer votre propre opinion ou point de vue. Il y a une différence entre simplement entendre et écouter activement. Cette dernière implique de réagir de manière significative à ce qui a été dit. Les gens peuvent se frustrer facilement s’ils ont l’impression de ne pas être écoutés.

La plupart des personnes qui se plaignent veulent simplement être écoutées et comprises. Montrer que vous écoutez activement peut contribuer grandement à apaiser la situation, même si vous ne pouvez pas résoudre complètement leur problème.

Il est important de garder à l’esprit que le client paie pour un service ou un produit qui ne correspond pas à ses attentes. Adopter une attitude défensive suggère que le client est dans l’erreur, ce qui ne fera qu’irriter davantage. Cela peut également signifier qu’il choisira de ne pas utiliser à nouveau votre entreprise.

Priorisez votre bien-être Bien que vous deviez prendre en compte le bonheur de vos clients, il est tout aussi important de prendre soin de votre propre bien-être mental.

Il est important de prendre soin de votre propre bien-être mental. Traiter une plainte peut ajouter du stress à un environnement déjà sous pression. Prenez cinq minutes pour vous détendre ou respirez profondément, et essayez de passer à autre chose. Concentrez-vous sur le fait d’être positif et de fournir une excellente hospitalité à vos autres clients.

Sécurité de la farine

Sécurité de la farine

Ne laissez pas l’E. coli devenir l’ingrédient secret de votre gâteau. Plus tôt ce mois-ci, nous avons commencé à recevoir des informations sur une épidémie d’origine alimentaire provenant d’une source improbable : la farine. Au début du mois d’avril, 12 personnes étaient tombées malades et trois avaient été hospitalisées à cause d’une contamination de la farine par la salmonelle. Bien que l’épidémie en soit encore à ses débuts, aucune personne n’est décédée à cause de sa maladie.

Une source spécifique n’a pas encore été identifiée dans l’épidémie, mais toutes les personnes tombées malades ont signalé avoir mangé de la pâte crue avant de développer des symptômes, et la farine a été identifiée comme le seul ingrédient commun à ces pâtes et ces pâtons.

Cela ne devrait peut-être pas surprendre ceux qui suivent les épidémies et les aliments impliqués dans ces épidémies.

De plus en plus, nous constatons des preuves que la consommation de pâte crue de quelque sorte que ce soit peut être une très mauvaise idée, surtout pour les jeunes enfants. Bien que les œufs crus soient toujours une préoccupation, la farine crue utilisée dans ces produits est devenue presque aussi problématique.

Les deux E. Coli et la salmonelle ont été impliquées dans des épidémies récentes liées à la farine. Entre 2017 et 2022, on a dénombré environ 22 rappels impliquant de la farine.

les récentes épidémies aident à illustrer pourquoi la farine doit être traitée de la même manière que tout autre aliment potentiellement dangereux dans nos cuisines. Contrairement à ce que beaucoup pensent, la farine crue n’est pas un aliment prêt à être consommé.

En fait, Consumer Reports a récemment souligné que la farine était l’un des dix aliments rappelés les plus risqués. Ces récentes épidémies aident à illustrer pourquoi la farine doit être traitée de la même manière que tout autre aliment potentiellement dangereux dans nos cuisines.

Au cours des dernières années, j’ai reçu des questions sur les causes des épidémies de farine. Bien sûr, la plupart de ceux qui me contactent savent que l’E. Coli ou la salmonelle est l’agent responsable de l’épidémie, mais comment la farine a-t-elle été contaminée par ces bactéries ? Même s’il est extrêmement difficile de déterminer exactement la méthode par laquelle la farine a été contaminée, il est fort probable que cela se soit produit dans les champs.

Bien que la plupart des agriculteurs utilisent les meilleures méthodes disponibles pour suivre les bonnes pratiques agricoles, il est toujours possible que le blé dans les champs soit contaminé lorsqu’il entre en contact avec des excréments d’animaux, de l’eau d’irrigation contaminée ou des écoulements provenant de pâturages et de champs voisins. Une fois contaminée, la farine n’est généralement pas traitée thermiquement pour éliminer les bactéries, ce qui explique comment la farine contaminée peut se retrouver dans votre cuisine.

Alors, que pouvez-vous faire pour protéger vos invités et votre entreprise ?

Traitez la farine comme un aliment potentiellement dangereux, car c’est vraiment le cas ! Si vous gérez une boulangerie ou fabriquez des produits de boulangerie dans votre établissement, assurez-vous de désinfecter les surfaces de travail avant et après utilisation.

Éliminez les contaminations croisées, comme vous le feriez avec une viande ou une volaille. N’autorisez pas les employés à manger de la pâte crue ou des pâtons, et assurez-vous de ne pas avoir de recettes (comme les truffes, le glaçage ou les cookies) qui impliquent de la farine sans étape de cuisson avant la dégustation.

Enfin, ne servez pas de pâte à cookies crue dans les glaces ou autres desserts sans vous assurer que le produit est une pâte à cookies comestible fabriquée avec de la farine traitée thermiquement et des œufs pasteurisés ou sans œufs. Ne prenez aucun risque.

Le netlinking : définition et fonctionnement

Le netlinking

également connu sous les termes de link building ou backlinking, désigne une stratégie visant à obtenir des liens provenant de sites externes pertinents et fiables.

Le netlinking est crucial pour le référencement naturel (SEO) de votre site. Plus votre site reçoit de backlinks, plus il est recommandé par d’autres sites et considéré comme populaire. La popularité est un critère essentiel pour Google dans le classement des résultats de recherche. Être bien positionné dans les moteurs de recherche est l’objectif principal du référencement naturel.

Les campagnes de netlinking complètent l’optimisation technique et structurelle de votre site ainsi qu’une stratégie de contenu efficace.

Ces trois piliers du référencement naturel sont fondamentaux.

Il est important de ne pas confondre le netlinking avec le maillage interne, qui concerne l’organisation des liens entre les différentes pages de votre site. Le maillage interne aide à structurer votre site et indique à Google quelles pages sont les plus importantes.

En résumé :

  • Netlinking : stratégie pour obtenir des backlinks, c’est-à-dire des liens provenant de sites tiers pointant vers votre site. Les backlinks peuvent être obtenus de manière naturelle ou par le biais de collaborations telles que des articles invités ou des échanges de liens.
  • Maillage interne : organisation des liens entre les pages de votre site web. Une bonne stratégie de maillage interne permet d’améliorer l’expérience utilisateur (UX) et renforce l’autorité des pages en recevant des liens depuis d’autres pages internes.

Il existe plusieurs techniques pour générer des backlinks, notamment :

  • Publier des articles invités sur d’autres sites avec des liens renvoyant vers votre site.
  • Acheter des articles sponsorisés pour obtenir des liens vers votre site.
  • S’inscrire sur des annuaires spécialisés (moins efficace).
  • Acheter des liens via des plateformes de netlinking.
  • Faire des échanges de liens avec d’autres sites.

Votre stratégie de netlinking doit être réfléchie et soigneusement choisie. Vous devez sélectionner les sites et les pages sur lesquelles vous souhaitez apparaître. Il s’agit d’une stratégie à long terme, nécessitant un suivi constant pour maintenir vos liens actifs et fonctionnels, notamment en cas de refonte de votre site internet.

Il est essentiel d’accorder une attention particulière à vos campagnes de netlinking, car elles sont au cœur de votre stratégie SEO. Ne les laissez pas au hasard.

Réussir une campagne de netlinking en 3 étapes !

Le netlinking est une composante essentielle d’une stratégie SEO réussie. Il permet d’améliorer le référencement naturel de certaines pages stratégiques ou de l’ensemble de votre site web.

Voici les trois étapes clés pour mener à bien une campagne de netlinking :

Étape 1 : Recherche de sites tiers pertinents pour la collaboration Commencez par identifier des sites web pertinents avec lesquels vous souhaitez collaborer. Utilisez des requêtes clés et analysez les résultats de recherche. Recherchez des sites d’autorité qui traitent de sujets similaires aux vôtres. Vous pouvez également analyser les backlinks de vos concurrents pour trouver des sites pertinents ou utiliser des outils tels que Ahrefs ou SEMrush pour vous aider dans cette tâche.

Étape 2 : Sélection des pages à lier sur votre site Identifiez les pages de votre site qui sont pertinentes à lier sur les sites partenaires. Créez ou améliorez du contenu attractif qui apporte de la valeur aux visiteurs des sites partenaires. Les contenus informatifs et divertissants fonctionnent généralement bien, tels que des articles de blog, des vidéos, des interviews, des galeries de photos, des pages de ressources, etc.

Étape 3 : Contact des éditeurs des sites pour la collaboration Contactez les éditeurs des sites avec lesquels vous souhaitez collaborer. Proposez-leur d’ajouter un lien vers votre contenu dans leurs articles existants, en fournissant des informations complémentaires à leurs lecteurs. Vous pouvez également proposer des articles invités, des interviews ou des articles sponsorisés. Assurez-vous que votre message soit clair, attrayant et en cohérence avec le contenu du site cible.

Utiliser une plateforme de netlinking pour contacter les sites pertinents est également une option pratique. Ces plateformes fournissent des listes de sites prêts à collaborer et offrent des conseils pour trouver les meilleurs partenaires. Elles accélèrent le processus de recherche et facilitent la mise en place des collaborations.

En résumé, une campagne de netlinking réussie nécessite une recherche approfondie de sites pertinents, la création de contenu attractif et la collaboration proactive avec les éditeurs des sites cibles.

STRATÉGIE DE COMMUNICATION EFFICACE : LES FONDAMENTAUX DU MARKETING DIRECT

Le marketing direct permet d’atteindre directement une cible spécifique sans passer par un tiers.

La clé de la réussite de cette stratégie réside dans la transmission d’un message personnalisé qui encourage les destinataires à acheter le produit ou le service proposé. Quel est le principe fondamental de cette approche ? Quels sont les objectifs visés ? Comment identifier efficacement sa cible ? Comment créer un message percutant ? Quels canaux peuvent être utilisés pour mettre en œuvre cette stratégie ? Découvrez tous les détails dans cet article…

Définition et objectifs du marketing direct :

Le marketing direct englobe toutes les actions de vente et de communication réalisées directement auprès de la cible, sans intermédiaire. Il s’agit d’une approche interactive et personnalisée, également connue sous le nom de marketing one-to-one. Cette stratégie vise à obtenir une réponse positive et rapide. Pour ce faire, il est essentiel de disposer d’une base de données contenant des informations détaillées sur les contacts ciblés, qu’il s’agisse d’organisations, de prospects ou de clients. À partir de cette liste de contacts, il est possible de créer des segments de consommateurs auxquels des offres promotionnelles adaptées à leurs besoins peuvent être proposées. Le profil de la cible est pris en compte afin de personnaliser l’interaction. Dans certains cas, il est même possible de créer des interactions individuelles pour garantir le succès de la campagne marketing.

Grâce à un ciblage précis, les chances d’atteindre la cible sont multipliées, et des relations peuvent être établies avec des prospects susceptibles de devenir des clients. De leur côté, les destinataires bénéficient d’un contenu pertinent répondant à leurs besoins.

Le principe de cette stratégie En 1961, le publicitaire Lester Wunderman a inventé le terme « marketing direct » pour la première fois. Cette approche, qui vise à améliorer la relation client avec les contacts cibles et ultimement à développer l’activité commerciale, s’est démocratisée au fil des années.

Le principe fondamental de cette démarche est de créer une relation directe entre les prospects ou les clients et l’entreprise. De plus en plus d’entreprises utilisent des actions de marketing direct pour établir les bases du marketing relationnel et mettre en œuvre leurs stratégies de marketing opérationnel. Dans certains cas, le marketing direct est combiné avec le mix marketing pour maximiser les chances de réussite des campagnes.

La mise en place d’une telle campagne repose sur plusieurs éléments :

  • Le support de communication : le choix de ce support dépend de l’audience ciblée et du type de contenu à diffuser. Il s’agit du moyen par lequel l’entreprise entre en contact avec le consommateur.
  • L’offre : il peut s’agir d’un produit, d’un service ou d’une manifestation d’intérêt pour un événement, proposés aussi bien aux prospects qu’aux clients.
  • La possibilité de réponse directe : le destinataire doit pouvoir répondre directement via le canal proposé, sans avoir à passer par un autre moyen de communication.
  • La base de données : elle contient toutes les informations recueillies sur les prospects et les clients, nécessaires pour adapter l’offre à chaque cible.

Les différents canaux du marketing direct Les outils utilisés dans cette stratégie peuvent être soit nouveaux, soit anciens. Avec l’avènement des technologies de l’information et de la communication à partir des années 2000, les entreprises disposent désormais d’un large choix de canaux.

Les nouveaux canaux :

  • Le marketing mobile : avec un taux d’environ 30 % de changement d’adresses e-mail chaque année, l’utilisation de coupons via les numéros de téléphone mobile s’avère pratique. Ces coupons offrent généralement des réductions en points de vente, un numéro d’appel, un lien vers un bon de commande, un formulaire de contact, etc. Ils peuvent être envoyés sous forme de messages textes ou de codes QR intégrés, par exemple.
  • Le marketing social et digital : divers outils digitaux sont utilisés pour diffuser les messages. Cela comprend l’utilisation des réseaux sociaux, des sites web, des applications mobiles, des blogs, des e-mails et des vidéos en ligne.
  • La publicité en ligne : elle vise à inciter les prospects ou les clients à passer à l’action.
  • L’email marketing : il s’agit de l’outil le plus simple et le moins coûteux parmi les nombreux canaux permettant de contacter directement la cible.

Les anciens canaux :

  • Les kiosques interactifs : des bornes où les clients ou les prospects peuvent acheter des produits ou des services et obtenir des informations.
  • Le phoning ou télémarketing : il consiste à commercialiser des produits ou des services par téléphone.
  • Le boîtage : il regroupe les annonces personnalisées et les offres envoyées dans les boîtes aux lettres des contacts cibles.

Les objectifs du marketing direct Pour mener une campagne réussie, il est nécessaire de suivre cinq étapes clés du marketing direct :

  • L’identification de la cible.
  • L’élaboration du message.
  • La sélection des canaux de communication.
  • L’automatisation de la campagne marketing.
  • Le suivi et l’analyse des résultats.

Comme toute autre stratégie marketing, l’objectif du marketing direct est d’augmenter les ventes, fidéliser les clients et conquérir de nouveaux clients. Étant donné qu’il s’agit de répondre à un besoin stratégique et d’obtenir une réaction rapide et bien définie de la part de la cible, les actions marketing sont généralement réalisées à moyen ou court terme.

Selon les attentes de l’entreprise et le niveau d’interaction souhaité, cette stratégie vise également à :

  • Collecter des informations diverses afin de constituer une base de données.
  • Accroître la part de marché de l’entreprise.
  • Obtenir des rendez-vous, des avis, des visites en magasin ou sur un site Internet.
  • Améliorer la gestion des clients insatisfaits.

En général, les objectifs principaux des entreprises consistent à acquérir de nouveaux clients et fidéliser ceux qui font déjà partie de leur clientèle.

Obtenir de nouveaux clients : Pour convertir vos prospects en clients, vous pouvez leur proposer de tester un nouveau produit ou leur offrir des promotions temporaires ou un accès privilégié à un produit en avant-première. Vous pouvez également les informer des promotions actuelles et futures, des actualités de votre entreprise et des nouveaux produits afin de les inciter à devenir clients.

Fidéliser votre clientèle : Pour encourager vos clients actuels à continuer à acheter vos produits ou services, vous pouvez les fidéliser en leur proposant des cadeaux ou des remises. Cette approche leur fait sentir qu’ils sont privilégiés et valorisés.

Créer un message percutant : Votre message doit inciter les destinataires à prendre l’action demandée. Il doit être original, pertinent et percutant, mettant en avant les valeurs de la marque, ses atouts, ses services et ses produits. Vous pouvez proposer des bonus après l’action, des réductions, des invitations à des événements, des services ou des produits détaillés, etc. Assurez-vous que l’opportunité présentée ou la promesse véhiculée dans le message soit tenue, car c’est la raison pour laquelle les destinataires passeront à l’action.

Recourir à l’automatisation du marketing : Pour une organisation optimale et une réactivité face aux réponses des destinataires, de nombreuses entreprises utilisent l’automatisation du marketing, qui consiste à automatiser différentes tâches à l’aide d’un logiciel adapté. Ainsi, les prospects ou les clients reçoivent des messages personnalisés chaque fois qu’ils effectuent l’action demandée. Des e-mails ou des SMS sont envoyés automatiquement grâce à une programmation préalable des tâches, en fonction du temps de l’interaction, du profil de la cible et du comportement des prospects ou des clients.

Effectuer le suivi et analyser les résultats : Cette étape est essentielle pour évaluer le retour sur investissement (ROI) de la campagne, estimer le budget nécessaire pour acquérir de nouveaux clients et fidéliser votre clientèle. Vous pouvez utiliser des indicateurs de performance (KPI) pour identifier les points faibles de votre stratégie afin de les améliorer. La comparaison entre les résultats attendus et les résultats obtenus, tels que le nombre de réponses, de ventes réalisées ou de rendez-vous obtenus, est essentielle pour déterminer les objectifs atteints.

Conclusion : Le marketing direct permet de contacter directement des prospects ou des clients sans intermédiaire, de fidéliser votre clientèle et de convertir vos prospects en clients. Cette approche peut être utilisée aussi bien en marketing B2C qu’en marketing B2B et nécessite de regrouper de nombreux éléments pour réussir les campagnes. Après avoir bien identifié votre cible, assurez-vous d’obtenir leurs coordonnées, créez un message personnalisé et pertinent, puis utilisez les canaux adaptés, qu’ils soient numériques ou traditionnels, pour l’envoyer. L’automatisation et le suivi du processus sont également importants pour fidéliser les clients et obtenir un retour sur investissement.

Température de cuisson

Les températures de cuisson.

La sécurité alimentaire repose sur l’adoption de mesures appropriées pour garantir une température de cuisson adéquate. Chaque été, nous sommes confrontés à une augmentation des cas de maladies d’origine alimentaire, peut-être en raison des températures estivales qui rendent plus difficile le contrôle de la température des aliments sensibles, ou peut-être en raison de la popularité croissante des barbecues pendant cette période de l’année.

Pour limiter la propagation de ces agents dans notre chaîne alimentaire, il est essentiel de garantir une cuisson appropriée, en veillant à atteindre les températures de cuisson recommandées. Cette précaution revêt une importance particulière pendant l’été, lorsque les pique-niques sont plus fréquents et que les professionnels de la restauration et des services alimentaires travaillent dans des environnements moins familiers.

Il est primordial que vos employés se rappellent de deux éléments essentiels :

la température finale de cuisson recommandée pour différents produits et la manière de prendre correctement la température des aliments, surtout lorsqu’il s’agit de plats inhabituels par rapport à notre menu habituel. Même en travaillant dans des cuisines non conventionnelles pendant cette période, il est essentiel de maintenir les normes de sécurité alimentaire et les températures de cuisson appropriées. Par conséquent, il est crucial que nos employés se souviennent de la température de cuisson finale recommandée pour divers produits et sachent comment prendre la température des aliments correctement.

Les températures de cuisson constituent un principe fondamental de la sécurité alimentaire, enseigné dès le premier cours sur le sujet. Cependant, il n’est pas toujours facile de s’en souvenir, surtout lorsque de nouvelles connaissances peuvent entraîner des révisions des températures de cuisson finales, telles que celles recommandées dans les mises à jour du code alimentaire.

Voici les recommandations actuelles pour les températures de cuisson :

57 °C : pour les plats végétariens maintenus au chaud ;

63 °C : pour les œufs préparés devant être servis immédiatement, les steaks de viande fraîche, les côtelettes et les rôtis ;

68 °C : pour les œufs préparés devant être servis ultérieurement, le bœuf haché et le porc ;

74 °C : pour toutes les volailles et les viandes farcies.

Prendre la température des aliments peut être déroutant pour les employés qui travaillent avec de nouveaux ingrédients ou qui ne sont pas habitués à utiliser un thermomètre alimentaire. Il est important de rappeler aux employés que chaque type de thermomètre nécessite une méthode légèrement différente. Les thermomètres à cadran à tige bimétallique et les thermomètres numériques sont les plus couramment utilisés.

L’emplacement du thermomètre lors de la prise de température est également crucial pour obtenir des résultats précis. Il doit être inséré dans la partie la plus épaisse de l’aliment, en évitant les cartilages, les graisses et les os. Dans le cas des hamburgers, des steaks et des poitrines de poulet, il est préférable de placer le thermomètre sur le côté. En cas de doute, il est recommandé de prendre plusieurs mesures sur différents points de l’aliment.

Lorsque vous cuisinez de grandes quantités d’aliments, comme cela peut être le cas en restauration, il est préférable de mesurer la température finale de cuisson de chaque élément individuellement. Cependant, nous comprenons que cela n’est pas toujours possible ou pratique. Dans ce cas, il est recommandé de mesurer la température de plusieurs produits pour s’assurer que la température finale appropriée a été atteinte. Si vous placez de grandes quantités d’aliments sur le grill ou la plaque chauffante en même temps, mesurez la température de ceux qui ont été placés à différents moments (début, milieu, fin) avant de retirer l’ensemble. Selon le type de thermomètre utilisé, il est important de laisser suffisamment de temps au thermomètre pour obtenir une lecture précise.

 

Location d’un fichier mail

La location d’un fichier d’adresses emails

c’est une option à considérer lorsque vous souhaitez mener des opérations marketing ciblées. Cela implique la collaboration entre un éditeur, un annonceur et une agence.

L’éditeur est responsable de la collecte des adresses emails, qu’il met ensuite à disposition des annonceurs. Ces adresses peuvent provenir de diverses sources telles que des jeux-concours, des inscriptions à des newsletters ou des demandes de devis. Il est important de noter que l’obtention du consentement volontaire de l’internaute est primordiale pour assurer la qualité des adresses. L’utilisation de l’Opt’in partenaire, où les internautes acceptent explicitement de recevoir des communications commerciales, est préférable à l’Opt’out, qui est interdite par la CNIL.

L’annonceur est l’entreprise qui souhaite atteindre de nouveaux clients grâce à des campagnes marketing. La location de fichiers emails est souvent utilisée par les entreprises du secteur des services financiers et de l’assurance. Pour optimiser les chances de réussite, il est essentiel que l’annonceur ait une offre attrayante et une cible bien définie.

L’agence joue un rôle clé dans le processus de location de fichiers emails. Elle peut enrichir les contacts en combinant différentes bases de données pour obtenir des informations complémentaires et améliorer la qualité des adresses. De plus, elle peut proposer des services tels que l’envoi des emails, la gestion de la campagne et la préparation des templates.

Les coûts de location d’un fichier d’adresses emails varient en fonction du volume, de la qualité et du degré de ciblage. Les tarifs peuvent également inclure les frais de routage et de gestion de la campagne. Par exemple, pour des particuliers, un volume de 10 000 contacts peu ciblés peut coûter entre 50 et 100 €, tandis que pour des professionnels, un volume de 10 000 contacts peu ciblés peut coûter entre 80 et 120 €. Pour des volumes plus importants et des ciblages plus précis, les prix peuvent atteindre entre 150 et 300 € pour 50 000 adresses très ciblées.

Pour optimiser vos campagnes d’email marketing et maîtriser les meilleures pratiques, il est recommandé de suivre une formation webmarketing certifiante. Cela vous permettra d’améliorer la performance de vos campagnes et de mesurer les résultats obtenus.